Tuesday, April 1, 2008

Creamcrackers as buildingsmaterial in Second Life

The Clocktower of Edloe Island, the home of Crap Mariner. Mariner did invite to a "Bloggers party" on sunday 30.03.08.

Snapshots and text: Arm Strom


The tower has interesting interior, but i were intrigued by the "cracking" buildingmaterials.


Unreal(life) buildingmaterials is part of what makes Sl challenging and interesting!


This tower gave room for a great bloggers party, but it dont stands water nor dominant creamcracker lovers!


How to define "a dominant creamcracker lover"?

One definition: They do eat crackers with both hands, sip tea with a straw, do eyeflirtation and sending nice energy telepatically. They are most probably british,... maybe french.




Où sont passés mes lecteurs ? Where have my readers gone? ¡Me han robado mis lectores !




(English version)

(En Castellano)


Alors ça y est, nous y voila, plus qu’un seul lecteur, ou une lectrice, qu’est-ce que j’en sais, et puis après tout qu’est-ce que j’en ai à faire que ce soit un homme, une femme ou, pire, un avatar, peu me chaut…

Ce qui m’inquiète, ce n’est pas le sexe de cet ange, mais pourquoi donc sont-ils tous partis, et pour aller où ? Je vous le demande ! (pas la peine de me répondre Ô lecteur unique, tu n’es pas concerné et je ne t’en veux pas de t’accrocher à mes basques)

Mes articles sont-ils si mauvais que cela, ou simplement inintéressants au point de faire bailler le quidam imprudent qui s’aventure à tenter de me lire ? A tenter de comprendre le fatras que je déverse innocemment l’air de rien en faisant mine de ne pas y toucher?

Et puis c’est désespérant tous ces passants qui arrivent par hasard chez moi depuis Google en cherchant les Bet(t)ancourt, Liliane et/ou Ingrid, en pensant naïvement que je vais leur fournir des informations croustillantes pour l’une, navrantes pour l’autre, alors que je n’en sais fichtre rien ce que la première fait de son argent et si la seconde va en réchapper …

Ils arrivent, ils voient, ils repartent comme ils sont venus… «Quoi, qu’est-ce que c’est que ce site qui prétend nous informer et qui nous raconte sa Second Life at hand ? Et puis ça veut dire quoi Second Life at hand, c’est même pas français, la fille sur la photo elle nous regarde même pas dans les yeux, elle fait comme si on n’était pas là, elle écoute son perroquet et elle répond même pas à nos questions...»

Et il y a aussi ceux qui cherchent des esclaves, ah j’ai bien fait d’inviter San à collaborer, avec ses articles sur le BDSM elle m’amène une de ces populations, je vous raconte pas !

Et son dernier article sur le «restricted viewer», là c’est le pompon, je savais même pas que ça existait un «restricted viewer», et d’ailleurs je sais toujours pas à quoi ça sert, apparemment ce serait un «viewer» qui nous permettrait de faire encore moins de choses dans Second Life que ce que nous avons l’habitude de faire, il nous briderait en quelque sorte (non, non, je ne ferai pas de l’humour en disant que ça me rappelle HiPiHi, ce serait trop facile) en nous empêchant, si j’ai bien compris, de se détacher si on a des menottes…Mais moi j’ai pas besoin de menottes pour être scotchée au sol, quand ce n’est pas carrément dans le sol, ou alors «dans le coin du bas à gauche» comme si j’étais au piquet, privée de jouet comme dans le bon vieux temps où les martinets caressaient les fesses trop libertines, maintenant c’est les cheveux qu’on se prend dans les fesses quand ce n’est pas un soulier à talon aiguille, aie ! ça fait pas du bien.
Eh bien tout ça pour dire que le trafic a augmenté de 50% depuis cet article, il y en a plein qui veulent savoir ce que c’est un «restricted viewer», je me demande même si c’est pas les mêmes qui cherchent des esclaves…

Nous avons aussi des gens un peu plus sérieux (quoique…) qui arrivent en quêtant Christian Salmon ou Marie-monique Robin (elle met pas de majuscule à monique, alors j’en mets pas non plus) et qui restent comme deux ronds de flan en lisant ma prose.

Bref, force est de constater que je ne suis qu’un lieu de passage, une zone de chalandise dans laquelle on vient lécher ma vitrine sans m’acheter quoique ce soit, en ne daignant même pas déposer un petit commentaire pour dire ne serait-ce que coucou, à part Wangxiang qui me laisse des messages codés et s’en va en ricanant de sa bonne blague, ou Daneel qui tente parfois de me réconforter et me propose peu après une de ses dernières trouvailles dont il a le secret et qui s’accumulent quelque part sur mon bureau (où est-ce que j’ai mis Twitter déjà… ?)

J’en suis vraiment arrivée à me poser de sérieuses questions existentielles sur la pérennité de mon blog : est-ce que ça vaut vraiment la peine de continuer dans ces conditions ?

On écrit en principe pour être lu, éventuellement pour passer à la postérité, en tout cas on aime bien avoir un «retour» de ses lecteurs, un signe comme quoi on est sur la bonne voie, ou alors qu’on se plante complètement, mais pensez donc, avec plus qu’un lecteur, si je fais un sondage qu’est-ce que j’obtiens, 100% de réponses favorables ou défavorables ? Non, non, c’est même pas la peine d’essayer, c’est couru d’avance, autant que je me fasse les réponses toute seule, ça ira plus vite.

Alors voila, j’ai décidé que j’allais arrêter ce blog, le fermer définitivement, en plus ça tombe plutôt bien avec les nouvelles restrictions™ que je suis bien incapable de circonvenir ou de respecter, avec tous les Second Life et Linden Lab dont j’ai truffé mes articles, comme autant de mines anti-personnel prêtes à me sauter à la figure à la moindre occasion ; et même que je me demande si mon lecteur unique n’est pas un espion à la solde des Lindens, c’est peut-être Prokofy Neva après tout, ça lui ressemblerait bien à cet androgyne hermaphrodite qui tel un Chevalier d’Eon avance à découvert le visage masqué…

Pas la peine de me laisser des commentaires, à moins que ce ne soient des messages de condoléance ou pour faire de la publicité pour Télérama.

Adieu monde cruel, tu ne me manqueras pas, j’ai ma pelouse à tondre et mes rosiers à tailler (pour les haies si quelqu’un veut se proposer, merci de m’envoyer vos tarifs)


En réalité, chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même.
Marcel Proust
Extrait de Le temps retrouvé


(top)


English version
I am tired, so…

Translation from French to English

Foolish writers and readers are created for each other.
Horace Walpole
English author (1717 - 1797)


(top)


En Castellano
¿QUIÉN QUIERE ENTRAR EN EL BASURERO?
Por casualidad me enteré de que la OEA existía, al leer hoy un cable de Internet con el artículo de Georgina Saldierna, publicado en La Jornada, titulado “Descarta Insulza que Cuba pueda ser reaceptada de inmediato en la OEA”. Nadie se acordaba de ella. Véase el carácter antediluviano del argumento.
“El secretario general de la Organización de Estados Americanos (OEA), José Miguel Insulza, descartó ayer que Cuba se pueda reincorporar de inmediato al organismo multilateral, entre otras razones porque no hay consenso sobre el tema entre sus miembros.”
“Por su lado, Insulza consideró que un requisito que tendría que cumplir Cuba para su plena reincorporación a la OEA es atender las normas de la organización, entre las cuales se incluye la Carta Democrática Interamericana y la Convención de Derechos Humanos.”
Si no es suficiente para divertirse, vea el artículo de Antonio Caño, de El País el 21 de febrero de 2008, “El aislamiento de la isla sólo sirve para perpetuar la agonía del régimen”.
“Una de las voces más autorizadas del exilio cubano, el empresario Carlos Saladrigas, confía en que la dimisión de Fidel Castro puede ser ‘la puerta que abre definitivamente al cambio’ y pide a la comunidad cubana de Miami y al Gobierno de Estados Unidos que actúen con ‘prudencia’ y con ‘voluntad conciliadora’, con el fin de no desaprovechar esta oportunidad.
“Saladrigas, que preside una pequeña organización llamada Grupo de Estudios Cubanos, integrada en un colectivo de otras asociaciones políticas y de derechos humanos conocido como Consenso Cubano, ha gastado en los últimos años millones de su fortuna particular para poner en marcha un embrión de alternativa moderada y centrista a los viejos dirigentes radicales que dominaban la comunidad cubana en Estados Unidos. En el páramo de liderazgo en que quedó Miami tras la muerte de Jorge Mas Canosa, Saladrigas es una voz respetada entre los círculos intelectuales, y escuchada por los medios de comunicación y los diplomáticos extranjeros.
“En una conversación telefónica desde la República Dominicana, Saladrigas declaró: ‘seguir aislando a Cuba sólo sirve para perpetuar la agonía del régimen.’
“‘Este es un momento de gran esperanza, tanto para los cubanos del exilio como para los disidentes en el interior.
“‘El exilio debe ayudar estimulando los pasos que se vayan dando en Cuba, no rechazándolos. Las transiciones se hacen paso a paso.
“‘Hay que conseguir que el régimen le pierda el miedo al exilio; cuanto menos miedo tenga, más rápido va a ir todo.’ El cambio, en su opinión, es imparable.”
“En Florida vive un millón de cubanos con recursos suficientes como para revitalizar la maquinaria económica de la isla en muy poco tiempo si se dan las condiciones adecuadas, que deben de ser creadas tanto por Estados Unidos como por Cuba. El primero, levantando las restricciones a los ciudadanos norteamericanos para invertir en la isla, y el segundo, legalizando la propiedad privada y la actividad económica extranjera.
“Una vez que se den esas condiciones, en opinión de Saladrigas, las reformas políticas serán automáticas. La medida más urgente sería la liberación de los presos políticos. Cumplido eso, y abierta la puerta a la inversión, el exilio podría convertirse en el mayor fondo de ayuda que ninguna transición política ha conocido en la historia, afirma.”
Carlos Saladrigas me suena en el oído como nombre y apellido que escuché muchas veces cuando, como colegial de 18 años, concluía mis estudios en el quinto y último curso de Bachillerato. Era el candidato escogido por Batista al terminar el último año de su mandato constitucional. Antes había sido su Primer Ministro. Estaba finalizando la segunda guerra mundial.
¡Qué barato nos quiere comprar el nuevo Carlos Saladrigas! Con el dinero de Miami, “el mayor fondo de ayuda que ninguna transición ha conocido en la historia”, algo que Estados Unidos no ha podido lograr con todo el dinero del mundo.
La realidad es otra y esta no se oculta a los que observan con realismo los acontecimientos que tienen lugar en Cuba.
Un artículo de David Brooks, publicado hace menos de 12 horas en el diario La Jornada, de México, bajo el título “Estados Unidos relegado a simple espectador de la transición política en Cuba”, utiliza argumentos dignos de subrayarse.
“Nueva York, 20 de febrero. No cesa de asombrar cómo uno de los países más pequeños del mundo obliga a que los líderes políticos, empresariales, mediáticos y académicos del país más poderoso del mundo tengan que responder ante sus decisiones de hacer o no hacer, cambiar o no, o simplemente dejar todo en misterio.
“Durante las últimas 24 horas el presidente George W. Bush, los altos funcionarios de su Departamento de Estado, su Consejo de Seguridad Nacional, legisladores federales, los precandidatos presidenciales y otras figuras políticas de primer nivel, analistas políticos y los principales centros de política exterior, todos los principales medios impresos y electrónicos, agrupaciones de derechos humanos, y más, han respondido a la decisión de Fidel Castro de no postularse por otro período.
“Mientras se procede con una transición política en Cuba, nadie aquí espera algún cambio durante los pocos meses que quedan de la presidencia de George W. Bush, el décimo presidente estadounidense que prometió imponer cambios en la isla, sólo para acabar su período con Fidel Castro aún definiendo la política de su propio país y desafiando al superpoder.
“Y una vez más, Washington y todos los expertos fueron reducidos a simples espectadores y tuvieron que reconocer que la transición es la determinada por Cuba, y no el resultado de la política que Washington ha promovido durante medio siglo.”
“Julia Sweig, experta en la relación bilateral y directora del programa de América Latina para el Council on Foreign Relations, subrayó… que se debería haber levantado el embargo y otras restricciones que sólo han limitado a la política exterior estadounidense justo en este tipo de coyuntura.
“El ex coronel Lawrence Wilkerson –mano derecha del general Colin Powell y ahora copresidente de la Iniciativa de política EU-Cuba del New America Foundation–, consideró una vez más que esta coyuntura ofrece una oportunidad para cambiar la postura estadounidense, aunque admitió que ‘nuestra política hacia Cuba es un fracaso’ y no habrá ningún cambio bajo esta presidencia. Los precandidatos y otros deberían iniciar una evaluación de esta política, incluyendo cosas obvias como levantar la prohibición de viajes y algunos aspectos del embargo, para que el próximo ocupante de la Casa Blanca pueda implementar algunos cambios.
“El New York Times hace eco de estas perspectivas en su editorial de hoy, indicando que el gobierno de Bush ha hecho todo lo posible ‘para asegurar que no tiene la oportunidad de influir en los eventos’ en Cuba. ‘En nombre de apretar el fracasado embargo, ha hecho mucho más difícil para académicos, artistas y gente religiosa viajar a Cuba y difundir la buena palabra sobre la democracia.’ El Times propone dejar a un lado los intereses de Miami, aun si es particularmente difícil en un año electoral para abrir comunicación directa con Cuba y ‘los sucesores del señor Castro’.
“Con el anuncio de Castro desde La Habana, la dinámica política dentro de Estados Unidos también puede cambiar. Los tres principales precandidatos se pronunciaron sobre el asunto ayer, con el republicano John McCain y la demócrata Hillary Clinton repitiendo la retórica de siempre de que Cuba tiene que demostrar cambios antes de que Washington considere un cambio de su política.
“El demócrata Barack Obama ―quien en 2003 como candidato al Senado abogó por levantar el embargo― ha condicionado su posición ahora, pero es el único que ha favorecido aflojar las restricciones a viajes y el envío de fondos a la isla, y ayer dijo que si hay muestras de un cambio hacia la democratización en la isla, ‘Estados Unidos debe estar preparado para dar pasos hacia la normalización de las relaciones y suavizar el embargo’.”
“‘Hemos tenido una mala política durante 50 años, por razones que no tienen nada que ver con Cuba’, declaró el representante federal Charles Rangel, presidente de uno de los comités más influyentes del Congreso, reportó el Wall Street Journal. Varios legisladores más perciben este momento como una apertura posible para promover cambios en la política bilateral.
“El sector empresarial, que desde hace años ha manifestado su oposición al embargo, también podría ver esta como una oportunidad para redoblar esfuerzos para cambiar la política estadounidense, con el apoyo bipartidista de legisladores y gobernadores que ven el mercado cubano como algo más atractivo que mantener una posición ideológica alineada con un presidente y su gobierno cada vez más desprestigiado en Washington.
“Al parecer, la transición en Cuba podría provocar una transición dentro de Estados Unidos. Pero tal vez Washington y Miami son más renuentes al cambio que La Habana.”
Como pueden apreciar los lectores, he trabajado poco mientras espero la decisión trascendente del 24.
Ahora sí estaré varios días sin usar la pluma.
Fidel Castro Ruz
Febrero 22 de 2008
5 y 56 p.m.

Algunos escritores aumentan el número de lectores; otros sólo aumentan el número de libros.
Jacinto Benavente (1866-1954) Dramaturgo español.



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Extrait de Echos du silence